Tarek Charara

Je suis photographe. J'écris. Parfois je fais un livre.
Petra

Petra

De toutes les cités anciennes du monde, peu d'entre elles étonnent et émerveillent autant que Petra. Située entre la mer rouge et la mer morte, en Jordanie, à 200 km au sud d'Amman, la capitale. Petra, la nabatéenne, se situe dans une vallée de la zone montagneuse...

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une lumière à Chatila

une lumière à Chatila

Après de longues discussions à refaire le monde, au petit matin, Fernand Tuil et Ahmed Muhaisen ont une idée formidable ! Faisons un jumelage entre un camp de réfugiés palestiniens et une ville française… En 2005, la ville de Bagnolet signe le premier jumelage avec un camp de réfugiés au Liban – Chatila.

« Une lumière à Chatila » raconte, en images, quelques étapes de cette aventure humaine, entre 2005 et 2012.

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à l’ombre de Chatila

à l’ombre de Chatila

Terrorisme, fanatisme, attentats-suicides… Pendant que les médias nous abreuvent des actions d’une minorité extrémiste, des millions de Palestiniens vivent dans des conditions inacceptables, entassés depuis bientôt 75 ans dans 58 camps disséminés à travers le Moyen-Orient :

Gaza, Cis-Jordanie, Liban, Syrie, Jordanie…

Ils étaient 750 000 en 1948 à devoir fuir leur patrie. Aujourd’hui les Nations unis recensent près de cinq millions de réfugiés palestiniens qui sont pris en charge par l’UNRWA, organisme des Nations unies chargé des réfugiés palestiniens de 1948 et de leurs descendants. Plus de trois millions de réfugiés dépendent des ONG et autres organismes de bienfaisance. Ces chiffres ne nous apprennent rien des histoires vécues, de la joie et de la douleur, de l’espoir et des rêves brisés.

Au Liban, près de 500 000 Palestiniens (sur)vivent dans 12 camps officiels sans droits civils ni politiques. Qui sont ils? Comment vivent ils?

Tarek Charara nous offre, à travers «à l’ombre de Chatila», une image tendre et inhabituelle des habitants du plus connu des camps de réfugiés palestiniens au Liban. Laissant de côté les différences, Tarek Charara se concentre sur ce qui rassemble, tranches de vie qui, sur fond de malheur tragique, contiennent tous les éléments d’un quotidien presque «normal». 

L’exposition «à l’ombre de Chatila» a été primée en 2004 au Festival Off de Visa pour l’Image à Perpignan.

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